Léger, léger, léger...
Quand une blondasse
Rencontre un' aut'e pètasse
D'quoi qu'elles bavassent
Bah, d'histoires de connasses
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Elle a du monde au balcon
Mais ce n'est pas un balcon
C'est une terrasse
Que dis-je une terrasse
c'est une esplanade
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J'aurai jamais la gueule de l'emploi
Et le look idoine
Il suffit pas que l'on me voit
Pour caresser ma couenne
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Lorsque plus rien
Ne t'intéresse
Qu'une paire de seins
Une paire de fesses
Tu te regardes dans la glace
Et tu te trouves dégueulasse
Puis, tes instincts
De sale mâle
Se font câlins
Se font la malle
Tu aperçois à la bonne place
Tous ses attraits qui te font face
Ce sont les siens
Qui t'intéressent
Sa paire de seins
Sa paire de fesses
Tu la regardes au fond du coeur
Tu y vois mille et une couleurs
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Y'a d'la pètasse au mèt'e carré
Dans ma région ensoleillée
Y'a d'la poufiasse reconstituée
Au bistouri en or plaqué
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Bien que le poids des ans
Donne au palais un goût de réglisse
Ma bouche asséchée de zan
Me ramène au temps des délices
Arrivé au parking du temps
J'ai déroulé cet escargot
En y gâtant un peu mes dents
J'ai enrichi les Haribo
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