Ici, le dimanche, c'est Dimanche
Petit jeu FACILE aujourd'hui.
3 questions :
1. Qui est le personnage dont on parle ici ?
2. Quel est son lien avec le 14 juillet ?
3. Qui a écrit ce texte, le 14 juillet 2006 ? (c'est quelqu'un qui nous rend visite sur ce blog régulièrement)
"Aujourd'hui, c'est le quatorze juillet, jour de Fête Nationale en
France. Nous célébrons la prise de la Bastille, le quatorze juillet de
l'an mille sept cent quatre-vingt-neuf. Des hommes et des femmes se
sont battus pour renverser le Régime de l'époque par lequel le pays
était mené économiquement à sa perte, gouverné par un roi à l'égo
surdimensionné plus préoccupé par ses réformes plutôt que par la misère
dans laquelle son peuple baignait.
Etrange comme tout se répète toujours inlassablement…
Mais aujourd'hui, ce n'est pas la Révolution qui sera mon sujet mais un
Homme (la majuscule s'impose comme marque de respect), un de nos
contemporains, à qui je veux rendre hommage.
C'est sur un Rocher que vous êtes venu au monde. Un peu en hauteur,
par rapport à d'autres mortels. Singulier clin d'œil de la vie : vos
parents se prénommaient Marie et Joseph ! Avec un tel départ dans la
vie, il était naturel que vous ayez un destin hors du commun et
marquiez les mémoires… Pouvons-nous le croire ? Votre deuxième épouse
s'appelait Madeleine… Là, excusez-moi, sans être plus que cela
intéressée par la théologie, je commence à percevoir dans ce qui fut
votre vie des coïncidences qui n'en sont peut-être pas…
Votre crinière de lion rendra inoubliable dans les mémoires votre image
de « vieux fou ». Et comme pour parfaire cette dernière, vous adopterez
non pas des chiens, chats, serins ou autres poissons rouges, mais des
guenons ! Vous acquerrez une petite île, vous vous offrirez un château…
On essaiera de vous bâillonner, de vous détruire, comme beaucoup de
génies. Mais le succès est déjà vôtre et ces mêmes personnes qui vous
ont "lancé" avant de vous "museler" devront reconnaître, admettre vos
multiples talents.
Sachez, Monsieur, que vous restez et resterez incontestablement, à mes
yeux, un des plus grands amants des Muses du vingtième siècle. Vous
n'écriviez pas, vous insuffliez vie aux mots, les faisiez respirer pour
l'éternité. Vous avez engendré des expressions inoubliables, réinventé
la langue française, réincarné des poètes dont je n'aurais peut-être
jamais entendu ou lu les vers. Vous avez été le chef d'orchestre des
paroles et l'aède des notes de musique. Vous avez écrit des textes
magnifiques, composé des airs, des opéras, interprété les plus grands
rimeurs, conduit des orchestres symphoniques.
Vous étiez un grand Monsieur. Et aujourd'hui, ... "
12h :La réponse aux 2 premières questions ayant été trouvée (par framboise) voici la fin du texte :
"Vous étiez un grand Monsieur. Et aujourd'hui, cela fait treize ans, déjà, que vous nous avez quittés.
Avec le temps, va, tout s'en va, mais vous, Monsieur Léo Ferré, nous ne vous oublions pas !"
13h45 : Réponse : Plum' trouvé par Nathalie GOOGLE